Rien n’est moins sûr… En effet, comme nous l’avons établi récemment, les combats de rue sont totalement différents des rencontres organisées sur des rings ou des tatamis qui suivent des règles bien précises et dans lesquelles la technique prime souvent sur l’impact physique en tant que tel. Une fois encore, pour défendre votre vie, vous devez bien ancrer dans votre esprit qu’aucun coup bas, aucun vice ne vous seront épargnés. Après tout, c’est la loi du plus fort qui prime dans ce contexte. C’est pourquoi nous avons aujourd’hui décidé de lister un certain nombre de ces tentatives ayant pour but de tester votre naïveté lors d’une agression. Voici donc à quoi vous attendre
1) Le coup de tête
Un grand classique, le crâne étant un des os les plus solides du corps humain, il va sans dire que le coup de tête est l’une des « techniques » les plus employées dans les combats de rue. Votre nez est alors généralement la cible adéquate : il est facilement brisable, saigne abondamment et vous empêchera de respirer correctement, ce qui peut provoquer une panique qui affaiblira votre défense. C’est pourquoi vous devez toujours essayer de mettre de la distance entre vous et votre agresseur. L’autre avantage du coup de tête, c’est qu’il est réalisable avec n’importe quelle partie du crâne, ne vous méfiez pas uniquement du front de votre assaillant.
2) Les pressions sur les yeux
Voilà un geste que nous avons nous-mêmes décrit et qui peut faire de réels dommages. Les yeux sont fragiles, et une fois que votre agresseur aura ses doigts placés dans vos orbites l’issue peut en être très dangereuse. Il faut toujours protéger son visage lors d’une altération. Cela étant établi, lorsque votre adversaire tente ce genre de manoeuvre, essayez de ne pas trop paniquer : d’autres endroits de son corps sont alors laissés sans protection (le foie, les côtes, les parties génitales…)
3) Les morsures
Lors d’un combat de rue, on se bat avec ce que l’on a et comme on le peut.Tous les coups étant permis, vous pourrez vous retrouver face à des agresseurs prêts à tout pour vous infliger des dégâts corporels. Certains peuvent tenter de vous mordre. Ça peut paraître risible et puéril comme cela… mais la douleur est intense.
4) Les tirages de cheveux
Et non, les filles n’ont pas l’apanage de cette parade pour immobiliser ou tout du moins ralentir leurs adversaires. En vous tirant les cheveux votre agresseur ouvre votre garde et voit ainsi la portée de ses coups augmenter. Votre visage devient indéfendable et les frappes peuvent alors pleuvoir. Soyez réaliste, si vous ne pensiez pas que cette technique pourtant peu viriles pouvait se matérialiser lors d’un affrontement, vous aviez tort !
5) Les manipulations des parties génitales
Là encore, pas de secret : les parties génitales représentent un des points faibles de l’anatomie masculine. Il n’est donc pas rare qu’on tente de vous attaquer ou de saisir à pleine main votre paquet (en imprégnant une forte pression, ou en tirant dessus) afin de vous faire hurler de douleur et de vous faire abandonner la lutte.
6) Les manipulations des plaies ouvertes
Si votre chaire est entaillée ou que votre adversaire vous a coupé (avec ses poings, sur votre visage par exemple), il y a de fortes chances pour qu’il tente de placer ses doigts dans l’orifice ainsi ouvert. C’est bas, mais cela fonctionne très bien. La douleur déjà vivace, sera renforcée à tel point que vous pourrez perdre votre sang-froid, pourtant vital pour ne pas vous laisser submerger par votre assaillant.
7) Les pressions sur les articulations
En cas de combat rapproché, votre assaillant peut parfois tenter d’attraper vos articulations (les joints reliant le coude au bras et ceux de l’arrière des genoux) afin de tirer dessus ou d’y appliquer une forte pression. Le but de cette manœuvre est de réduire votre mobilité afin de prendre l’avantage sur vous. Cela dit, cette technique requiert un minimum de connaissances sur l’anatomie du corps humain. Elle ne figure donc pas parmi les plus fréquentes, car soyons clairs, vos assaillants sortent rarement de Polytechnique !
8 ) Griffures et pincements
Là encore, voici des méthodes qui ne relèvent pas de la plus grande virilité, mais qui sont pourtant bien réelles et utilisées lors des agressions. Votre assaillant n’hésitera pas à torsader votre peau, la pincer ou même la griffer. Si la douleur n’est pas forcément comparable à celle infligée par un véritable coup, elle joue cependant sur les nerfs et vous laissera croire en la faiblesse de votre adversaire. Ce qui comme vous le savez est une erreur cruciale. Il ne faut jamais sous-estimer son agresseur, sous peine de se faire surprendre.
Comme vous le voyez, les affrontements en milieu urbain sont bien loin des combats nomenclaturés sur des rings ou lors de meetings sportifs. Aucune règle, aucune pitié. Vous devez être prêt à faire face à tous types de comportements afin de minimiser l’effet de surprise et renforcer votre capacité d’adaptation face aux combattants les moins conventionnels. Au moins maintenant, vous êtes prévenu !
Rien n’est moins sûr… En effet, comme nous l’avons établi récemment, les combats de rue sont totalement différents des rencontres organisées sur des rings ou des tatamis qui suivent des règles bien précises et dans lesquelles la technique prime souvent sur l’impact physique en tant que tel. Une fois encore, pour défendre votre vie, vous devez bien ancrer dans votre esprit qu’aucun coup bas, aucun vice ne vous seront épargnés. Après tout, c’est la loi du plus fort qui prime dans ce contexte. C’est pourquoi nous avons aujourd’hui décidé de lister un certain nombre de ces tentatives ayant pour but de tester votre naïveté lors d’une agression. Voici donc à quoi vous attendre
1) Le coup de tête
Un grand classique, le crâne étant un des os les plus solides du corps humain, il va sans dire que le coup de tête est l’une des « techniques » les plus employées dans les combats de rue. Votre nez est alors généralement la cible adéquate : il est facilement brisable, saigne abondamment et vous empêchera de respirer correctement, ce qui peut provoquer une panique qui affaiblira votre défense. C’est pourquoi vous devez toujours essayer de mettre de la distance entre vous et votre agresseur. L’autre avantage du coup de tête, c’est qu’il est réalisable avec n’importe quelle partie du crâne, ne vous méfiez pas uniquement du front de votre assaillant.
2) Les pressions sur les yeux
Voilà un geste que nous avons nous-mêmes décrit et qui peut faire de réels dommages. Les yeux sont fragiles, et une fois que votre agresseur aura ses doigts placés dans vos orbites l’issue peut en être très dangereuse. Il faut toujours protéger son visage lors d’une altération. Cela étant établi, lorsque votre adversaire tente ce genre de manoeuvre, essayez de ne pas trop paniquer : d’autres endroits de son corps sont alors laissés sans protection (le foie, les côtes, les parties génitales…)
3) Les morsures
Lors d’un combat de rue, on se bat avec ce que l’on a et comme on le peut.Tous les coups étant permis, vous pourrez vous retrouver face à des agresseurs prêts à tout pour vous infliger des dégâts corporels. Certains peuvent tenter de vous mordre. Ça peut paraître risible et puéril comme cela… mais la douleur est intense.
4) Les tirages de cheveux
Et non, les filles n’ont pas l’apanage de cette parade pour immobiliser ou tout du moins ralentir leurs adversaires. En vous tirant les cheveux votre agresseur ouvre votre garde et voit ainsi la portée de ses coups augmenter. Votre visage devient indéfendable et les frappes peuvent alors pleuvoir. Soyez réaliste, si vous ne pensiez pas que cette technique pourtant peu viriles pouvait se matérialiser lors d’un affrontement, vous aviez tort !
5) Les manipulations des parties génitales
Là encore, pas de secret : les parties génitales représentent un des points faibles de l’anatomie masculine. Il n’est donc pas rare qu’on tente de vous attaquer ou de saisir à pleine main votre paquet (en imprégnant une forte pression, ou en tirant dessus) afin de vous faire hurler de douleur et de vous faire abandonner la lutte.
6) Les manipulations des plaies ouvertes
Si votre chaire est entaillée ou que votre adversaire vous a coupé (avec ses poings, sur votre visage par exemple), il y a de fortes chances pour qu’il tente de placer ses doigts dans l’orifice ainsi ouvert. C’est bas, mais cela fonctionne très bien. La douleur déjà vivace, sera renforcée à tel point que vous pourrez perdre votre sang-froid, pourtant vital pour ne pas vous laisser submerger par votre assaillant.
7) Les pressions sur les articulations
En cas de combat rapproché, votre assaillant peut parfois tenter d’attraper vos articulations (les joints reliant le coude au bras et ceux de l’arrière des genoux) afin de tirer dessus ou d’y appliquer une forte pression. Le but de cette manœuvre est de réduire votre mobilité afin de prendre l’avantage sur vous. Cela dit, cette technique requiert un minimum de connaissances sur l’anatomie du corps humain. Elle ne figure donc pas parmi les plus fréquentes, car soyons clairs, vos assaillants sortent rarement de Polytechnique !
8 ) Griffures et pincements
Là encore, voici des méthodes qui ne relèvent pas de la plus grande virilité, mais qui sont pourtant bien réelles et utilisées lors des agressions. Votre assaillant n’hésitera pas à torsader votre peau, la pincer ou même la griffer. Si la douleur n’est pas forcément comparable à celle infligée par un véritable coup, elle joue cependant sur les nerfs et vous laissera croire en la faiblesse de votre adversaire. Ce qui comme vous le savez est une erreur cruciale. Il ne faut jamais sous-estimer son agresseur, sous peine de se faire surprendre.
Comme vous le voyez, les affrontements en milieu urbain sont bien loin des combats nomenclaturés sur des rings ou lors de meetings sportifs. Aucune règle, aucune pitié. Vous devez être prêt à faire face à tous types de comportements afin de minimiser l’effet de surprise et renforcer votre capacité d’adaptation face aux combattants les moins conventionnels. Au moins maintenant, vous êtes prévenu !