Le vrai objectif de la pratique ne doit pas viser la confrontation, mais l’amélioration de notre propre potentiel. Seule garantie d’une meilleure efficacité en cas de conflit physique ou verbal.

 

 

 

1- Le cadre légal.

Il s’agit d’un l’élément essentiel. En effet, comment mené à bien une altercation physique si vous ne maîtrisez pas les fondamentaux de la loi, tels que la légitime défense et l’assistance à autrui… N’oubliez pas nul n’est censé ignorer la loi! Il y a une grande partie (recueil de textes + explication de la légitime défense par une greffière) sur la législation en vigueur dans mon manuel numérique (vous pouvez le recevoir gratuitement en me laissant votre prénom et votre e-mail dans le cadre à droite).

2- Communication et sciences sociales.

Thématique vaste, mais extrêmement importante, si vous maîtrisez (dans le cas contraire, il vous faudra au minima des notions) l’ensemble de ces connaissances sans aucun doute vous éviterez bon nombre de situations conflictuelles. Il s’agit ici de prévenir voire d’anticiper les affrontements verbaux et/ou physiques. Dans ce sens vous devrez exacerber votre sens de:

  • La communication verbale ou non verbale;
  • L’observation, d’analyse;
  • L’écoute;
  • L’empathie.

Et développer votre culture sur:

  • La programmation neuro-linguistique (PNL);
  • La dissuasion;
  • La manipulation;
  • La persuasion.

3-Valeur-Etat d’esprit.

C’est ce qui caractérisera votre gestion de conflit que ce soit verbal ou physique. Vos valeurs détermineront jusqu’à quel point d’implication vous pouvez aller.

Exemple: Capacité à frapper un homme au sol; en cas de défense sur une agression, enfoncer fortement ses doigts dans les yeux de son agresseur.

On se croit souvent plus fort que ce que l’on est réellement. Il est parfois (souvent) difficile de faire quelque chose de contraire à nos principes.

4- La gestion du stress.

Qui n’a jamais senti ses jambes flanchées, sous une menace, une confrontation avec des collègues… Votre capacité à gérer votre stress déterminera à coup sûr l’issu de la confrontation. En cas de violence physique, serez-vous condamné à rester immobile, car vous serez

en stress dépassé; lors d’un conflit verbal, la pression augmente, serez-vous capable de gardez votre « sang-froid », ou allez-vous « exploser » de colère? Pour vous aider dans cette gestion du stress, plusieurs outils peuvent vous être utiles:

  • La programmation neuro-linguistique (PNL);
  • La sophrologie;
  • La relaxation;
  • La méditation.

5- La protection personnelle.

Comprenez tout ce qui vise à protéger les individus. À juste titre commencer par:

  • La pratique d’un sport de combat, d’un art martial, d’une méthode de self-défense.
  • L’amélioration de vos capacités physique et mentale (Je donne quelques conseils dans « Anticiper pour mieux agir », mon manuel numérique, pour ceux qui n’ont pas le temps de s’entraîner, notamment une méthode qui ne vous prend que 10 minutes par jour).
  • La connaissance du terrain, connaissez-vous plusieurs moyens pour vous rendre au travail, à la maison…cela vous rendra peut-être service un jour!
  • La gestion des priorités, savez-vous analyser une situation et prioriser une action? Cela demande du calme, du recul, une excellente connaissance de son potentiel et de son entourage. Il vous faut prendre la bonne décision au bon moment.

6- Votre savoir-faire.

Le partenaire parfait pour à la fois réduire l’effet stress et augmentez votre capacité à réagir. L’adage « C’est en forgeant que l’on devient forgeront » est d’autant plus vrai lorsque l’on parle de conflit ou de relation interpersonnelle. Le mot d’ordre, ici, est la formation et la mise en application (Je n’ai pas dit d’allez taper sur tout ce qui bouge pour mieux vous battre). Pour ce faire vous pouvez vous basez sur votre propre expérience et effectuez:

  • Des mises en situation;
  • Des préparations militaires;
  • Des stages et formations.

7- La sécurité personnelle.

Il s’agit ici de toutes les méthodes ou dispositifs que vous mettez en place pour assurer la prévention et la sûreté d’un bien. Il peut s’agir d’équipements pour votre maison, votre voiture ou pour votre bureau. Attention toutefois à la législation en vigueur.

 

Quelque réponse d'expert en self defense

Interview de Maître Doueib Richard

 

Toutes les défenses compliquées techniquement contre agressions physiques sont à éviter. C’est toujours la défense la plus simple et logique qui aura des chances de fonctionner. Donc je conseille de voir un ou plusieurs cours de la discipline qui vous intéresse avant de vous décider à vous inscrire. Ceci étant en démarrant une self-défense et sans expérience préalable il est très difficile de différencier le vrai du faux.

 

Les conflits peuvent avoir plusieurs origines :

1 – Une agression dans le but de voler une personne. Dans ce cas la réaction doit être quasi immédiate. Cela peut-être une contre-attaque ou la décision de donner ce que le voleur demande. Dans tous les cas c’est le sang froid qui permettra de prendre la décision la plus opportune et intelligente.

2 – Un conflit qui s’envenime, souvent principalement pour des raisons d’amour propre contrarié (égo). Dans ce cas la discussion est toujours la meilleure des solutions. Notre propre égo ne doit pas, dans l’idéal, alimenter un conflit qui autrement pourrait se résoudre.

 

 

Résolution des conflits

La solution est simple et immuable. Les méthodes peuvent varier. Nous devons montrer, froidement et sans émotion, qu’en cas de nécessité nous répondrons présents sans faillir, si notre interlocuteur s’avisait de nous attaquer physiquement. Nos réponses verbales ne doivent pas viser à blesser l’interlocuteur. Celui-ci se retrouverait donc dans des conditions idéales pour se calmer. Nous ne l’atteignons pas dans sa fierté et il a compris qu’il risquerait de ne pas sortir indemne d’une confrontation physique. De quoi calmer beaucoup d’excités. Attention il faut être déterminé à faire face au cas où la situation se dégraderait, sinon votre éventuel agresseur le sentirait.

 

lors d’une crise que ne faut-il absolument pas faire ?

Chercher à répondre à ses attaques verbales superficielles au lieu d’aller droit à l’essentiel. Démontrer une absence d’assurance.

 

 Dans les simulations, c’est important le réalisme?

Travailler le réalisme dans la technique est essentiel pour habituer nos réflexes à travailler juste. Demander un combat dur comme nous le faisons à nos examens pour forger son courage est primordial. Le courage se travaille effectivement, mais pas n’importe comment. Les simulations peuvent être ludiques, mais sachant que le danger n’est que simulé celui qui participera doit être conscient qu’il s’amuse à faire semblant. Il en tirera alors les bénéfices d’une action ludique, ce qui peut être positif pour certaines raisons. il est important cependant de ne pas faire passer ce genre de travail pour une accession au courage. Ce serait mentir à l’élève ou au stagiaire.

 

Quelle place accordez-vous à la préparation physique, mentale et à la gestion du stress lors des entrainements ?

Richard Douieb : Beaucoup de place. Abordons la gestion du stress, j’aimerais prendre à contre-pied certaines idées reçues. Beaucoup d’enseignants pensent qu’il faut apprendre dans la dureté pour faire progresser le courage. Au contraire la familiarisation du danger ne peut être efficiente au début qu’avec l’absence de stress. Ce ne sont pas les coups reçus trop tôt qui vont développer le courage, mais un stress que le pratiquant pourra au départ aisément surmonter.

Face-au-Conflit : Si le lecteur ne devait retenir qu’une seule chose, quelle serait-elle ?

Richard Douieb : Il faut admettre qu’il peut arriver autant de situations possibles qu’il existe de personnes. Nous-mêmes ne sommes pas forcément dans les mêmes dispositions un jour et le lendemain. Notre agresseur sera-t-il grand petit, léger lourd, jeune, vieux, très déterminé ou pas trop ?

Il faut accepter que nous ne saurons jamais, et qu’un jour tout peut bien se passer et pas un autre. Le vrai objectif de la pratique ne doit pas viser la confrontation, mais l’amélioration de notre propre potentiel. Seule garantie d’une meilleure efficacité en cas de conflit physique ou verbal.

 


 

Franck Ropers : 

  • Tout d’abord, il n’y a pas de réponse type : chaque situation est différente !!
  • Ce qui est certain, c’est qu’il est très difficile de connaitre l’issue d’un conflit : on ne sait pas si on va rester au stade oral ou si on va basculer au stage kinesthésique !! : pour cela il faut connaitre les types de profil ce qui permet de déceler si cela va basculer au stade de l’agression ou du conflit physique ! En effet, un conflit avec un individu sous stupéfiant ou alcoolisé peut difficilement être calmé par la parole !! il faut donc fuir ou frapper fort et ensuite se sauver !!! et appeler les secours !!! Mais encore une fois la théorie en salle c’est simple et tous les conseils sont bons, mais une fois en stress dans la rue ce n’est pas la même chose !!! Une seule chose est sure : en combat de rue, il faut faire le bon choix, car la facture sera lourde de conséquences !!Dons je vais orienter les cours sur l’étude des gestes à ne jamais faire et les positionnements et aptitudes à adopter lors d’un conflit physique afin de réagir vite en cas d’attaque ! On s’entraine lors de simulations de scénarios types afin d’habituer le corps et l’esprit aux conflits (comme le font des groupes d’intervention lors des entrainements). Un test peut être proposé : vous prenez un individu (vous pouvez même tester avec une ceinture noire), si vous le surprenez en l’insultant très fort et en le bousculant vous verrez le temps qu’il va mettre avant de réagir !!! il va être tétanisé, car en salle on applique les techniques de défense en silence, après un échauffement, en kimono ou tenue de sport dans un lieu adapté…si vous criez très fort, insultez violemment (comme le font les agresseurs pour monter en rage et aussi et surtout vous soumettre et vous tester), grimacez…un temps de latence sera présent avant une quelconque réaction de sa part
  • La résolution de conflit se résume à la capacité d’évaluer vos capacités du moment et surtout être capable de mesurer la valeur de ce que vous souhaitez défendre : exemple : telle personne s’engagera d
    ans un conflit pour défendre une idéologie alors qu’une autre s’engagera dans un conflit pour défendre un territoire ou pour une personne proche…tout et question de valeurs liées entre autres à l’éducation et à ses propres valeurs….En tant que portier j’ai vu (lors d’une situation similaire) des videurs rentrer en conflit au risque d’y laisser leur vie juste pour l’honneur  et par contre, d’autres rester en retrait lors de provocation en pensant « je ne vais pas risquer ma peau pour 1500 euros nets par mois !!! »Tout cela il faut y penser avant !! Quand je vois des personnes non entrainées descendre de voiture pou un regard appuyé : je pense qu’elles devraient lire plus souvent les faits divers pour voir combien sont morts comme cela !!
  • La réponse à une agression est personnelle et contextuelle : lors d’une agression, il faut réagir vite !! soit on fuit (si on peut) soit il faut frapper !!! il n’y a malheureusement pas de juste milieu !!!

Face-au-Conflit : As-tu une méthodologie pour résoudre un conflit ? Concrètement que faut-il faire ?

Franck Ropers :

  • Je n’ai que des conseils pas de méthode toute faite : par contre ce qui est sur c’est que de concevoir une agression c’est déjà s’y préparer et est le début d’une formation en Self Défense !
  • La seule méthode que je propose est la prise de conscience, la connaissance des grands types d’agression, la prévention et ensuite la confiance en soi à travers un entrainement progressif (pour ne pas être traumatisant) et proche de la réalité ! Et cela fonctionne bien (20 ans de recul)

Face-au-Conflit : Lors d’une crise, que ne faut-il absolument pas faire ?

Franck Ropers :

  • Rentrer « tête baissée » dans une bagarre ! : un combat de rue évité est un combat gagné et une vie épargnée ! De nos jours les agresseurs sont rarement seuls…et vouloir aller au conflit physique sans avoir observé l’environnement est suicidaire !!! Toujours être conscient qu’une fois engagé on ne sait jamais l’issue de la confrontation…cela peut aller de la poussée en passant par une gifle et finir par un coup de poignard ou de rasoir !!!avoir toujours cela à l’esprit !!! Lors de mes stages et cours privés, j’aborde souvent les attitudes et engagements à ne pas adopter !!

Face-au-Conflit : Dans les simulations c’est important le réalisme?

Franck Ropers :

  • Ce n’est pas important, mais primordial : en effet, plus vous allez participer à des scénarios d’agression plus vous allez préparer votre mental et votre physique à une potentielle agression. En effet, vous aurez déjà vécu une multitude de simulations et ainsi l’agression ne sera plus une inconnue pour vous ! Donc, vous ne serez plus en panique totale, car vous aurez déjà vécu des sensations physiques et psychologiques de l’agression ! Vous saurez qu’elles seront présentes et nécessaires à la survie ! Donc, vous les aurez apprivoisées et vous serez mieux préparé à faire face !! La confiance en vous augmentera .
  • Pensez aux groupes d’interventions qui s’entrainent dans de conditions très proches du réel !!Il faut faire pareil avec une adaptation à nos besoins de civil !!
  • Lors de ces simulations, on se rend rapidement compte que seules les techniques simples et reptiliennes (mouvements moteurs simples) sont applicables et que toutes les techniques compliquées souvent apprises en salle (mouvements moteurs complexes) ne sont pas exploitables en situation de stress.
  • En effet, nous sommes très loin des arts martiaux avec le respect des règles et des codes sportifs : la tout est bon pour survivre !!! tout en respectant le cadre de la légitime défense. Dans la rue, il y a du vice, de la haine et les codes de la rue !!! il faut les apprendre !!! et cela ne s’apprends pas dans un dojo !
  • J’apprends aux personnes à utiliser des objets quotidiens (stylos, magazines, sacs) comme des armes lors d’attaques avec des armes !

Face-au-Conflit : Quelle place accordes-tu à la préparation physique, mentale et à la gestion du stress lors des entrainements ?

Franck Ropers :

  • Le physique, le mental et la gestion du stress sont des paramètres importants lors de la préparation à l’agression.
  • Le mental et la détermination interviennent à hauteur de 50% à 70 % de l’action dans une action de  défense
  • Le physique influence le résultat pour 20  à 50 % dans une défense
  • La technique c’est 20 à 50 %
  • Ce qui explique les différences de pourcentage : c’est que certains individus compensent une faiblesse par un point fort : exemple : un costaud avec une détermination élevée et une agressivité présente sera plus performant qu’une personne très technique avec un physique faible et une détermination peu affirmée.
  • Pour moi la répartition idéale et acceptable (socialement et faisable)  est :
  • 60 % mentale (travail de confiance de sa force de frappe au bouclier en cuir avec des mises en situation et l’application de techniques faciles à placer sur des points sensibles)) 20 % physique (pas besoin d’heures de musculation en salle, d’heures passées devant un sac de frappes ou de footing d’une heure par jour) et 20 % technique (très peu de techniques, mais simples).
  • Pour l’aspect technique : s’entrainer toujours contre des attaques de rue et non conventionnelles (comme le « coup de boule ») comme celles travaillées dans les salles d’arts martiaux sur un tatami ou sur un ring. Les attaques de rue sont très différentes et donc les blocages différents (ceux de la salle de sport ou du dojo ne sont pas adaptés, ce qui explique pourquoi certains arts martiaux ne sont pas adaptés à la self défense, mais je dirais même qu’ils sont dangereux par une fausse mise en confiance de par un conditionnement de gestes, de perception et d’encrage et de mémorisation de gestes de combat sportif qui « ne font pas mal »). Donc pas de techniques de blocage, mais plutôt des contres et surtout des techniques de placement et de gardes déguisées que j’ai mis au point  afin de neutraliser un agresseur avant qu’il ait eu le temps d’envoyer une frappe !!! eh oui ça fonctionne ceux qui suivent mes cours privés et stages privés le savent !!! et en plus c’est simple !!
  • Pour le mental et la détermination : c’est un savant dosage de prise de conscience de ses capacités, de connaissance des profils d’agresseurs, de préparation spécifique issue de techniques militaires de mon concept et surtout de détermination à travers une confiance en soi aiguisée

    au fil de la préparation dans sa globalité. À l’issue de plusieurs cours ou stages les élèves participent à un bilan: ils ont moins peur, ont des réponses à certaines interrogations, connaissent mieux leurs capacités et surtout ont une approche du conflit plus rationnel et des outils à leurs dispositions ! En terme clair, ils se sentent mieux armés. Je peux dire que mes 20 ans d’expérience et de partage de mes connaissances démontrent que même ceux qui venaient au début un peu contraint, éprouvent maintenant un réel plaisir et un vrai besoin !!! certains sont même devenus ceinture noire et instructeur de Penchak !!

Face-au-Conflit : Pour les personnes qui ne peuvent pas forcément se rendre dans une salle d’entraînement, comment peuvent-elles entrainer ? Les DVD que tu viens de réaliser sont-ils complémentaires à tes cours ?

Franck Ropers :

  • Les DVD ne sont que des outils pédagogiques et doivent être vus que comme des supports de cours ou comme des DVD de prises de conscience. Sérieusement, il serait illusoire d’affirmer qu’on peut se préparer à une agression dans son canapé, mais par contre cela peut donner envie d’apprendre la Self Défense ou de perfectionner ses capacités en combat !

Face-au-Conflit : Si le lecteur ne devait retenir qu’une seule chose, quelle serait-elle ?

Franck Ropers :

  • Fuir : toujours fuir si c’est possible et observer l’environnement en ne prenant aucun risque.
  • Observer : cette société aseptisée fait que la plupart des individus ne savent plus observer…  (Combien de personnes partent du principe qu’elles sont sur un trottoir n’entendent pas un scooter qui roule juste derrière !)
  • Faire confiance à son instinct : quand vous ne «  sentez pas une situation ou une personne » ne vous aventurez pas ! la première impression est souvent la bonne…
  • Ne pas laisser parler «  l’égo : vous pouvez regretter un égo mal placé !
  • Prendre conscience  que le conflit fait partie du quotidien (que ce soit au travail, en famille ou dans la rue) et que l’agression est à envisager et qu’elle n’arrive pas qu’aux autres. Ne pas se voiler la face et se préparer en pensant au dicton «  qui prépare la guerre prépare la paix ».
  • Pratiquer une méthode de Self Défense au « cahier des charges » suivant :
  • Très peu de techniques
  • Avec des techniques simples et reptiliennes
  • Applicable quelque soit l’âge, le gabarit et la condition physique
  • S’entrainer exclusivement en tenue civile
  • S’entrainer avec des mises en situation diverses (sols et environnements différents) et réalisées en stress progressif (avec des exercices « HIT » de type « cross fit »)
  • Pratiquer en totale sécurité avec un professeur diplômé d’état ou Fédéral qui a des références fédérales et de terrain pour éviter les cours avec des professeurs non formés.
  • Participer à un de mes stages ou au moins participer à un cours d’essai !!