La différence entre vous en sortir ou faire la une des journaux du lendemain pourrait bien ne tenir qu'à la façon dont vous serez préparé à affronter une situation dangereuse. Apprenez ces techniques simples, afin de savoir vous défendre avant et pendant une attaque, qu'il s'agisse d'une bagarre ou d'une embuscade et assurez ainsi votre sécurité. Pas besoin d'être Jean-Claude Van Damme pour vous protéger des méchants !
Protégez votre visage. Si l'agresseur essaye de vous donner un coup de poing ou de vous attaquer au visage, placez vos mains sur votre front afin d'esquiver les coups et gardez vos bras proches de votre corps. Vous donneriez alors l'impression d'être dans une position de faiblesse et cela amènera votre agresseur à baisser sa garde. De plus, cette position vous permettra de protéger votre visage et vos côtes, deux endroits fragiles.
- C'est en restant debout que vous aurez le plus de chances de gagner une bagarre et de vous en sortir. Évitez à tout prix de vous laisser renverser au sol.
- Si vous êtes attaqué par une personne armée d'un couteau ou d'un pistolet, évitez toute confrontation et échappez-vous. S'il vous est impossible d'éviter la bagarre, vous devez mettre un terme à la confrontation de façon brusque, puis courir chercher du secours.
- Avec la partie la plus dure de votre front, juste en dessous des cheveux, essayez de frapper le nez de votre agresseur en tendant votre cou et en amenant votre front juste au milieu de son visage. Il s'agit de la façon la plus rapide et la plus inattendue de mettre un terme définitif à une bagarre. Car même si votre agresseur est fort, violent ou expérimenté, il lui sera difficile de se remettre rapidement d'un coup dans le nez.
- Si après ce coup votre agresseur se pli en deux, vous pourriez lui donner un coup de pied dans le nez afin de vous assurer qu'il est hors d'état de nuire pour le moment.
- Frappez dans les tibias et dans les genoux, comme vous tacleriez au football, au lieu de simplement marcher sur les pieds de votre agresseur. Ces coups seront rapides et douloureux. De plus, si ses jambes sont suffisamment proches de vous, vous pourrez frapper son entrejambe avec votre genou ou son nerf fémoral ( dans l'intérieur de la jambe). Vous pourriez ainsi anéantir votre agresseur, car 5 à 6 kilos de pression suffisent à casser un genou.
- Dans certains cas, vous pourriez aussi attaquer l'agresseur au cou. Pour étrangler correctement quelqu'un, ne l'attrapez pas au cou à deux mains comme dans les films : placez votre pouce et vos doigts autour de sa trachée (très facile à trouver sur les hommes ayant une pomme d'Adam importante). Appuyez fortement, pincez cette zone et l'agresseur ressentira une douleur violente qui le fera tomber.
- Si vous avez la possibilité de vous enfuir sans danger, faites-le. Assurez-vous que vous êtes suffisamment loin de votre agresseur lorsque vous décidez de vous arrêter.
- Bien souvent, vous pourrez mettre immédiatement un terme à la situation en donnant votre portefeuille à votre agresseur. Il s'agit de la solution la plus sage, en particulier si vous êtes menacé avec un couteau ou un pistolet. Votre vie vaut bien plus que l'argent et les cartes que vous avez sur vous. Jetez votre portefeuille et partez en courant.
- Vous vous déferez ainsi de la prise de votre agresseur et sa tête, ses côtes et ses jambes seront vulnérables à votre contrattaque. Lorsque votre agresseur est derrière vous, ses tibias seront proches de vos jambes et seront alors ensuite faciles à frapper.
- L'escalade. Il s'agit de la dispute initiale, avant que la bagarre n'éclate. Cette dispute pourrait dans un premier temps paraitre innocente, mais peut en fait dégénérer rapidement.
- Les menaces verbales. Il s'agit du moment où des menaces physiques commencent à être formulées : « je vais faire ceci ou cela ».
- Pousser ou tout autre comportement menaçant. Les bagarres commencent généralement non pas par des coups de poing ou de pied, mais par des tentatives d'intimidation ou de petites bousculades. Il est toujours possible, à ce stade, d'éviter une véritable bagarre.
- La bagarre en elle-même. La dispute a cessé et les premiers coups ont volé [2].
- Pour calmer une dispute qui dégénère, parlez moins fort. Si vous vous calmez vous-même, les machos même les plus violents pourraient rapidement se calmer.
- Si vous êtes coincé par un agresseur, vous devrez faire en sorte que des gens puissent vous voir et vous aider. Vous aurez moins de chances d'être blessé si vous vous trouvez dans une rue passante. La confrontation dégénèrera moins facilement si vous êtes en public.
- Si vous devez rentrer seul, mêlez-vous à un groupe de passants et marchez avec eux. Pas besoin de connaitre les gens pour être en sécurité en leur compagnie.
- Si vous vivez dans un quartier dangereux et êtes inquiet, songez à suivre un cours d'autodéfense.
LÉGITIME DÉFENSE
l attaque contre laquelle on se défend doit être illégitime : il n’est pas question d’invoquer la légitime défense pour résister à une arrestation par les services de police. Dans ce cas-là on
comment soi-même un délit, celui de rébellion.
La riposte doit être nécessaire : ce doit être le seul moyen d’arrêter l’attaque que vous ou la tierce personne subissez. Si la victime peut s’éloigner des lieux pour ne pas subir cette
agression, la légitime défense ne pourra être retenue.
La riposte doit être concomitante à l’agression : revenir sur les lieux pour retrouver son agresseur, aller le retrouver plus tard, ou courir après un voleur, ne peuvent constituer des conditions
de légitime défense.
La riposte doit être proportionnelle à l’attaque subie : l’homicide ne pourra être excusé que si votre vie était objectivement en danger. L’utilisation d’une arme, même par destination, ne pourra
se justifier que contre la menace de violences graves ou une multiplicité d’agresseurs.
DÉFENSE PERSONNELLE
La défense personnelle (en anglais self-défense) est la maîtrise de techniques de combat permettant de faire face à une attaque sans se servir d'une arme. On parle aussi parfois de combat rapproché (close combat). Le terme « autodéfense » a étymologiquement la même signification, mais renvoie plutôt à une défense armée.
Selon William Legrand, la défense personnelle est en premier lieu
la gestion de la peur lors d'une agression.
L'enseignement de la défense personnelle est souvent basé sur des arts martiaux ou sports de combat avec toutefois une différence de taille : les arts martiaux, portent une attention particulière au respect de l'adversaire, parfois même nommé « partenaire » ; dans la défense personnelle, le but est de faire cesser l'attaque avant d'être maîtrisé, blessé ou même tué, le plus rapidement possible. S'il y a un respect rigoureux de règles de sécurité pendant l'enseignement et l'entraînement, avec utilisation d'armes factices et port de protections, l'application réelle se fait sans aucun respect de l'attaquant, puisque celui-ci ne respecte pas sa victime.Il faut toutefois souligner que, vis-à-vis de la loi française, la réponse doit être proportionnée à l'attaque, et que l'on ne peut être considéré en légitime défense que si l'on est attaqué en premier[1].
La défense personnelle s'attache à utiliser au mieux l'environnement et à utiliser les objets qui nous tombent sous la main : ceinture, chaise, bouteille, cendrier…
ne branche d'arbre sur une tentative de saisie
Les enseignements sérieux ne se limitent pas à l'enseignement des techniques de combat, mais concernent aussi à la gestion des situations tendues — éviter l'affrontement par le comportement et la parole — et l'aspect juridique (légitime défense).
Dans les pays où l'État n'arrive pas à endiguer la criminalité et où les citoyens ressentent une forte insécurité, le défense personnelle peut prendre une forme armée, sous la forme de milices civiles ; dans certains cas, ces groupes d'autodéfense sont des bras armés de partis politiques et sont le prétexte de violences politiques.
Efficacité directe et arts martiaux traditionnels
Les arts martiaux traditionnels ont été développés durant des siècles de guerre, où les combattants étaient réellement confrontés à la mort ; ils sont donc issus d'une longue expérience et ont prouvé leur efficacité.
Ils se sont cependant transformés entre le XVIIe et le XIXe siècle par trois phénomènes :
des périodes de paix, notamment la période Tokugawa au Japon ;
l'arrivée des armes à feu, les corps-à-corps devenant des situations mineures dans les guerres ;
la modernisation des sociétés, s'accompagnant parfois d'un oubli des traditions.
Ainsi, la savate qui était un combat de rue est devenue une boxe bourgeoise, les arts martiaux d'Extrême-Orient se sont détournés de la violence, et l'on est passé du combat à mort à des compétitions sportives régulées.
Or, la préoccupation de la défense personnelle est bien l'efficacité immédiate. À ce titre, les arts martiaux et sports de combats semblent parfois éloignés des situations réelles. Un certain nombre d'experts ont donc décidé de reprendre l'héritage des arts martiaux mais en les retravaillant à partir de situations probables :
en utilisant des protections (casque, coquille, gants) afin de porter des coups réels et d'habituer les pratiquants à la violence des attaques ;
en utilisant des armes factices (couteaux en mousse, faux pistolets) ressemblant aux armes réelles afin d'apprendre à gérer le stress, la peur.
Pratiques que nous qualifierons « d'applicatives ».
Toutefois, la pratique d'arts martiaux traditionnels reste souvent la base nécessaire de l'enseignement :Certaines personnes continuent toutefois à opposer les techniques de défense personnelle dites « modernes » aux arts martiaux dits « traditionnels », arguant que les derniers se sont éloignés de la réalité. Dans un certain nombre de cas, il s'agit d'un argument commercial, d'une manière de promouvoir sa propre pratique avec des arguments du type « j'ai conservé le meilleur de la tradition pour rechercher l'efficacité maximale » ; par ailleurs, les mouvements traditionnels souvent ont été soigneusement étudiés, et leur modification, même si elle semble mener vers une plus grande efficacité, peut au contraire mettre le pratiquant en danger lors d'une application réelle.
Nous avons donc trois types de pratiques :
les pratiques hygiénistes/éducatives basées sur le respect et le travail sur soi, comme les arts martiaux chinois dits « internes » (taiji quan, qi gong) et les budo traditionnels (aïkido, judo kodokan, karatedo shotokan, karaté shinkudo), qui permettent de travailler les principes fondamentaux comme la gestion de la distance de sécurité, l'équilibre, la direction d'attaque ;
les sports de combat (boxes, karaté de compétition, tae kwon do, ju-jitsu…), qui permettent de travailler l'endurance à la fatigue et à la douleur, la rapidité, la gestion de la surprise ; cependant, du fait de la présence de règles, on assiste fréquemment à des situations peu réalistes comme des distances trop courtes (tous les coups n'étant pas permis) ;
les pratiques applicatives, centrées sur les simulations de situations réelles (wingtsun, close combat, Krav maga, Kajukenbo, kali, systema, tinju ryu, jeet kune do, Goshin~Jitsu et de nombreux cours portant simplement le nom de self-defense).
La notion d'efficacité doit aussi s'aborder dans la notion de diffusion vers le public. Les sports de combat et les pratiques applicatives peuvent sembler plus efficaces, mais vont rebuter de nombreuses personnes en raison de la peur de la douleur, du sentiment d'échec, de l'effort physique réclamé. Une personne pratiquant un art « doux » sera certes moins préparée à la violence d'une attaque réelle qu'une personne pratiquant un art « dur », mais elle sera mieux préparée qu'un non-pratiquant. Lors d'une agression, elle gérera mieux les distances, tombera sans se faire mal (évitant d'ajouter la blessure de la chute à celles des coups) et se mettra en boule durant le tabassage, là où un non pratiquant sera plus gravement atteint. La personne aura donc mieux préservé son intégrité physique et psychologique, l'art « doux » aura donc été efficace.
Enfin, certains spécialistes dénoncent dans des articles des méthodes irréalistes dans des enseignements modernes et applicatifs, comme des erreurs dans la position des pieds, pouvant induire une position instable, ou un désarmement d'une personne armée d'un pistolet dans lequel on ne saisirait que l'arme et pas la main[2].
I/ Intelligence défense personnelle
voir http://passiondesartsmartiaux.jimdo.com/
L'intelligence de la self défense est une pratique interdisciplinaire, sur les techniques et la capacité à préserver son intégrité, quelque soit l'agression.
1/ Pratique et recherche ( Simulations / Gestion du stress )
2/ Technique de différent style moderne et ancien
3/ Capacité à préserver son intégrité
4/ Système moderne de protection
5/ Cadre de la Légitime défense
6/ Optimalisation de la méthode
7/ Gestions des conflits
8/ Comment réagir face à une prise otage et des kamikazes
Les techniques
– verbales : pour renforcer sa capacité à dire non et à poser ses limites au quotidien
– physiques : des mouvements simples et directement efficaces, adaptés à la morphologie de chacune, sanscondition d’âge ni entraînement physique particulier
Un travail actif, pratique et immédiatement efficace.
– pour prendre conscience de sa propre force – pour renforcer la confiance en soi
Des moments de réflexion – pour partager des réflexions sur l’éducation que nous recevons en tant que personnes
Les représentations que nous véhiculons,notamment autour de la violence – vivre un moment privilégié, avancer ensemble dans la découverte de son pouvoir,dans le respect du rythme de chacun.
Exemple de défense
Face au couteau.
Dans tous les cas, privilégiez la fuite. Si cela n’est pas possible.
Maîtrisez votre stress et luttez contre l’effet tunnel.
La défense contre une attaque au couteau est très complexe à mettre en place, mais nécessaire pour optimiser les chances de survie
A/ Mentale
Auto-défense mentale est la capacité à entrer dans la mentalité adéquate pour exécuter une technique physique auto-défense. De nombreuses écoles d'arts martiaux et des cours d'autodéfense se concentrent principalement sur la nature physique de l'auto-défense et négligent souvent l'aspect mental. Si vous êtes habile dans les aspects physiques d'une technique défensive, mais manque la force mentale et la ténacité de l'exécuter, vous ne serez pas en mesure d'effectuer - en particulier sous la contrainte. Environnements contrôlés peuvent pas facilement imiter le stress et l'adrénaline décharge qui se produit lors d'une attaque. Il ya un réel besoin pour être en mesure d'entrer dans la «mentalité de guerrier" correcte si l'on est pour avoir une chance réaliste de survivre à une rencontre potentiellement mortelle. Cet état d'esprit de guerrier est la capacité à se concentrer uniquement sur le succès d'une situation sans se préoccuper des conséquences, même si elles se révèlent fatales dans la poursuite dédié de votre résultat souhaité. La capacité d'aller sur, sous, autour ou à travers tout obstacle est l'essence même de cet état d'esprit "ne jamais abandonner" - similaire à celle du samouraï du Japon. L'auto-préservation est un facteur de motivation très puissant et il est essentiel de veiller à ce que l'on a la force mentale et la mentalité appropriée pour sortir vainqueur dans une rencontre avec un ou plusieurs
attaquants / agresseurs
B/ Prévention
Être au courant et d'éviter les situations potentiellement dangereuses est une technique utile de l'auto-défense. Les attaquants vont sélectionner généralement victimes qu'ils sentent qu'ils ont un avantage contre, comme une plus grande taille physique, la supériorité numérique ou la sobriété contre l'intoxication. En outre, toute embuscade situation place intrinsèquement le défenseur dans un grand inconvénient de l'initiative. Ces facteurs rendent la lutte pour vaincre un attaquant peu probable de réussir. Quand il est impossible, on a souvent une meilleure chance de se battre pour échapper, ces méthodes ont été dénommées techniques 'Break Away'. Comprendre la «mentalité» d'un attaquant potentiel est essentiel si nous voulons éviter ou échapper à une situation potentiellement mortelle. [7] Rester en sécurité dans toutes les villes dans le monde exige un esprit alerte. Un esprit qui est à l'écoute des dangers et des menaces potentielles. Bien sûr, nous devons former nos corps dans les compétences de combat et des techniques d'auto-défense pour être en mesure de traiter avec des individus violents. Mais, tout d'abord nous devons nous renforcer avec une netteté intellectuelle qui nous permet de percevoir une menace potentielle puis retirer nous-mêmes et nos proches de cette menace.
C/Désescalade
Aïkido verbal, aussi connu comme le judo verbal ou verbale Aïkido, est défini comme utilisant ses mots pour prévenir, de désamorcer, ou mettre fin à une tentative d'agression. [10] Il est un moyen d'utiliser des mots comme armes ou comme bouclier. Ce genre de «gestion des conflits» est l'utilisation de la voix, le ton et le langage du corps pour calmer une situation potentiellement violente avant que la violence découle effectivement. Cela implique souvent des techniques telles que prendre un temps d'arrêt, et dévier la conversation à des personnes dans le groupe qui sont moins passionnément impliqué, ou en entrant simplement dans empathique protégée mesure de mieux comprendre l'attaquant.
Auteur Katy Mattingly définit autodéfense verbale comme disant tout simplement pas à quelqu'un ou à plusieurs reprises refuser une demande ou de dire à quelqu'un qui a violé une frontière de ce que vous voulez, ou elle pourrait entraîner un scénario plus compliqué dans lequel vous êtes appelés à refuser de s'engager verbalement avec quelqu'un manipulatrice, de fixer des limites, et mettre fin à la conversation.
Suzette Haden Elgin l'auteur de The Gentle Art de Verbal Self-Defense affirme que la légitime défense verbale défend contre les huit types les plus communs de la violence verbale, et redirige et désamorce affrontements verbaux potentiels.
Luc A. Archer, auteur et formateur de l'Aïkido verbal: l'art de diriger les attaques verbales à un résultat équilibré, propose que la plupart des attaques verbales peuvent être réorientés vers une direction équilibrée ou positive, en utilisant trois étapes basé sur l'Aïkido philosophie.
D/Alarmes personnelles
Alarmes personnelles sont une façon de pratiquer l'auto-défense passive. Une alarme personnelle est un petit appareil tenu à la main qui émet des sons forts, forts, aigus pour dissuader les attaquants parce que le bruit peut parfois attirer l'attention des passants. Alarmes enfants peuvent fonctionner comme des localisateurs ou alarmes de périphériques tels que pour déclencher une alerte lorsqu'un piscine est utilisée pour aider à prévenir des situations dangereuses en plus d'être un moyen de dissuasion contre les agresseurs.
Règles générales
Tout d'abord, éviter les situations dangereuses (« Le sage ne se trouve jamais sur le lieu du combat »). Le problème est de trouver l'équilibre entre l'inquiétude inutile (« paranoïa ») et l'insouciance rendant vulnérable ; par ailleurs, certains quartiers ont une mauvaise réputation sans qu'il soit dangereux de s'y promener, et l'on peut se faire agresser en plein jour dans un « beau quartier ». Un autre problème avec ce concept est la culpabilisation de la victime : il est tentant a posteriori de donner des leçons et ainsi empirer le traumatisme psychologique.
Quoi qu'il en soit, l'attitude peut en elle-même encourager ou dissuader l'agression :
rester courtois et ne pas répondre aux provocations, et lorsque l'on est face à une personne énervée, laisser passer l'orage sans chercher à avoir raison ;
pour un piéton, choisir sa position par rapport à la chaussée : à l'arrêt, être adossé à un mur pour ne pas se faire agresser (ou voler son téléphone portable) par derrière ; marcher en sens inverse de la circulation en tenant les objets volables côté immeubles, pour éviter les vols à l'arrachée par deux roues ;
pour l'automobiliste en zone urbaine, rester courtois, verrouiller les portières et éviter de descendre du véhicule en cas d'agression extérieure ;
évidemment, éviter de s'aventurer la nuit dans des zones mal éclairées et mal fréquentées…
L'allure et la démarche (« langage du corps ») peuvent trahir la peur et le manque d'assurance, et faire croire à une victime facile. Pour dégager des signaux dissuasifs, on peut marcher d'un pas assuré en balançant bien les bras, la tête et le regard haut. En croisant des individus « douteux », ne pas rechercher le contact oculaire, mais s'il se produit, ne pas baisser les yeux (indice de peur et de soumission) mais les détourner horizontalement (signal neutre)[3].
Bien que différentes pratiques soient enseignées, elles répondent toutes aux mêmes contraintes, on peut donc tirer quelques règles générales :
« Même si vous agissez de la meilleure manière possible, il y a toujours une possibilité d'échec. L'échec étant ici de se faire blesser ou tuer. Partant de là, il faut distinguer deux situations, selon que la personne faisant usage de la défense personnelle est un quidam ou bien un professionnel de la protection des personnes (policier, vigile, militaire, garde du corps…). Parfois, nous sommes tués, même lorsque nous faisons tout correctement. La vie est différente de ce que nous croyons connaître. En réalité, tout peut arriver et bien que nous ne commettons aucune erreur, quelque chose peut toujours nous surprendre. »
— Uri Kaffe, entretien avec Avi Bardia, op. cit.
« soyez prêt à être blessé. […] L'objectif [du vétéran expérimenté] est de s'en sortir victorieux avec le moins de lésions possibles et moins graves que celle de son adversaire. »
— Sifu Vincent Lyu, Budo International n°129 (mars 2006), éd. Budo International Publishing Co.
Les considérations qui suivent se placent dans le cadre d'un quidam.
Les méthodes de défense personnelle montrent des techniques de désarmement, mais le désarmement n'est pas une fin en soi. Ces techniques sont nécessaires si l'assaillant porte effectivement un coup ; mais le but de la défense personnelle est de préserver son intégrité physique :
La seule attitude raisonnable face à un agresseur armé est d'obéir à l'agresseur. En effet, la plupart du temps, l'agresseur montre son arme pour obtenir quelque chose (argent, objet de valeur,...), il n'a pas l'intention de se servir de son arme, celle-ci sert à faire peur. Obéir aux injonctions de l'agresseur permet en général de s'en sortir indemne. Une personne résolue à tuer n'a aucune raison de montrer son arme, elle en ferait usage avant que l'on puisse s'en apercevoir donc réagir (tireur embusqué ou sniper, tueur à gages, règlement de compte dans le milieu du crime organisé…).
« Comprenez bien que si vous voyez l'arme, il est probable que l'agresseur n'ait pas l'intention de tirer sans plus, l'agresseur veut quelque chose. […] Se défendre ou ne pas se défendre. S'il vous demande de l'argent, ne résistez jamais et restez en vie ! Vous ne devez vous battre que lorsque votre vie ou celle de vos proches est en danger. Les cimetières sont remplis de héros. »
— Uri Kaffe, entretien avec Avi Bardia, op. cit.
Le fait de satisfaire l'agresseur va par ailleurs faire baisser la tension nerveuse, il sera d'autant moins enclin à passer à l'acte, alors qu'une résistance pourrait au contraire l'énerver. Les caissiers et guichetiers sont en général formés à la gestion d'attaques à main armée. Les recommandations sont en général d'obéir et montrant que l'on a compris (« Oui, je vous donne la caisse »), en laissant ses mains apparentes, en faisant des gestes calmes et non ambigus.
Cependant, l'agresseur peut montrer son arme et s'en servir tout de même, par exemple dans le cas d'une personne déséquilibrée mentalement, d'une personne ayant planifié l'homicide (assassinat) mais qui va tarder à passer à l'acte, d'une personne voulant faire peur mais qui elle-même paniquerait et passerait à l'acte… Dans ces cas-là, si malgré les précautions l'agresseur attaque effectivement, le désarmement peut en effet être la meilleure manière de se protéger.
« Si on vous attaque avec une arme blanche, on vous coupera. Les coupures sur les bras et les jambes peuvent être douloureuses, mais en général elles ne sont pas mortelles (Ndlr : sauf si une artère ou une veine importante est touchée ; par ailleurs, certaines blessures ont des conséquences irréparables : douleurs chroniques, perte d'un œil, amputation…). […] Esquivez les coups de couteau et approchez vous et détruisez immédiatement, même si en le faisant, vous risquez de vous blesser au bras ou au visage. »
— Sifu Vincent Lyu, op. cit.
« [Lorsque l'on est menacé par une arme à feu], si nous réalisons un mouvement rapide, pour [lui] arracher [l'arme] des mains et s'il se trouve que le criminel a le doigt sur la gâchette — ce qui est presque certain — nous pourrons le surprendre en provoquant un mouvement réflexe (l'action involontaire d'appuyer sur la gâchette, dû à la contraction des muscles). »
— Jim Wagner, Budo International n°129 (mars 2006), éd. Budo International Publishing Co.
La fuite est préférable à l'affrontement. Même en cas d'affrontement non armé, il y a toujours un risque d'être blessé ou de mourir, par exemple en raison d'un choc sur la tête, d'une chute, d'un bris de verre, de la présence d'un complice armé, ou tout simplement de l'agresseur qui sortirait une arme jusqu'ici cachée.
« Cela avait été l'autre drame du jeudi 27 octobre 2005. À Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), […] quatre jeunes s'en prenaient à un homme qui photographiait un lampadaire dans le quartier d'Orgemont. Transporté à l'hôpital, Jean-Claude Irvoas, 56 ans, devait mourir de ses blessures dans la nuit. […] "Initialement, les jeunes voulaient voler l'appareil [photo]. Mais après, tout devient plus flou" […] . L'homme a défendu son bien et a réussi à mettre un des agresseurs à terre. Il s'est ensuite dégagé, poursuivi par deux personnes dont une lui a alors asséné un coup à la tête qui l'a laissé étendu sans connaissance. »
— Benoît Hopquin, Le Monde, 27 octobre 2006
« Sergio Vantaggiato a été déclaré hier soir en état de « mort cérébrale ». Dimanche soir, […] dans les couloirs de la station de métro […] deux hommes lui dérobent son sac à dos et prennent la fuite. Il décide alors de se lancer à leur poursuite, parvient à rattraper un des voleurs […]. Dans l'empoignade, le journaliste chute lourdement au bas des marches. Victime d'un traumatisme crânien et perdant beaucoup de sang, il est évacué par le Samu vers l'hôpital […] »
— Christophe Lehousse, Libération n° 8171, p. 9, 15 août 2007
« Islem aurait demandé du Tipp-Ex à Amel. La jeune fille n’aurait pas apprécié le ton "impoli" de la requête. À la sortie, Hakim, le frère, aurait exigé une explication. Elle a lieu le lendemain, à l’intercours, dans un couloir du rez-de-chaussée du bâtiment 4. Hakim vient alors accompagné de deux copains. Le ton monte très vite. C’est alors qu’Islem […] sort un couteau et assène trois coups à Hakim, dont un à l’aorte, qui serait à l’origine du décès. »
— Adeline Fleury (avec Stéphane Joahny), « Hakim, premier tué dans un lycée », sur Le Journal du dimanche, 10 janvier 2010
L'option de la fuite est bien sûr à pondérer : il y a des cas où la fuite est impossible (incapacité physique, configuration des lieux) ou pas souhaitable (par exemple la personne est accompagnée d'un enfant qui ne pourra pas fuir efficacement).
La fuite est parfois impossible à cause de la configuration des lieux, ou bien en raison de la surprise. L'idée est de chercher à se dégager en utilisant les objets à proximité comme bouclier ou arme improvisée, comme une chaise ou un vêtement ; on peut aussi faire diversion en jetant un objet de valeur[4]. On peut se laisser soumettre dans un premier temps, ce qui permet d'analyser la situation, de retrouver son calme et de récupérer des coups que l'on a pu prendre ; puis fuir en utilisant la surprise par une attitude explosive (crier brutalement et courir).
Lorsque l'affrontement a lieu, si l'agresseur n'est pas armé d'une arme à feu, les principaux paramètres à gérer sont :
la distance de sécurité : si l'on réussit à maintenir une distance minimale (supérieure à l'allonge du bras et de l'arme), cela permet d'avoir le temps de réagir aux coups ; par ailleurs, plus l'adversaire a de distance à parcourir pour toucher, plus il va se mettre en situation de déséquilibre, ce qui pourra être exploité ;
la gestion de la distance en situation de stress nécessite un entraînement ;
l'équilibre : risque de chute sur des obstacles ; si l'on décide de lancer des coups de pieds (la jambe a plus d'allonge que le bras), on se contente de coups bas (les coups hauts mettent plus de temps à atteindre et présentent des risques de chute), si possible dans les parties génitales, sinon viser les chevilles, tibias, genoux[5] ;
obtenir de l'aide, par exemple en criant pour prévenir ;
la configuration des lieux : ne pas se retrouver coincé sans espoir de fuite ; ceci est en particulier compliqué s'il y a plusieurs agresseurs (risque d'encerclement).
Armes sub-létales
Article détaillé : Arme non létale.
Des armes ont été développées afin de provoquer une incapacité temporaire tout en limitant les effets néfastes. Ces armes sont dites « sub-létales », ce qui signifie qu'elles ont un potentiel mortel faible, mais on ne peut pas assurer que la personne ne risque pas de mourir, ne serait-ce que lors d'une chute consécutive à l'utilisation de cette arme.
La faible dangerosité fait que ces armes peuvent parfois être possédées sans autorisation spéciale ; cela en fait des « armes de défense » idéales, mais aussi des armes d'attaques, l'agresseur encourant une peine moins importante s'il se fait arrêter.
L'exemple le plus commun est la bombe lacrymogène ou à gaz poivre pour sa rapidité d’exécution,son ergonomie (se sont souvent de petits tubes de l'envergure de 12 cm en moyenne ) et son efficacité qui n'est plus à défendre, en témoigne son utilisation dans les services de maintien de l'ordre et ceux dont la majorité des pays. Mais son utilisation est aussi reconnu dans la sphère privée[6].
Il faut se méfier :
des lieux clos, en particulier si le nuage est peu directif ;
du vent et des courants d'airs, appels d'air.
Pour parer à ces inconvénients, on préférera utiliser une bombe lacrymogène au gel.
Défense personnelle armée
Un agresseur pouvant être armé, certaines personnes pensent qu'elles doivent être armées pour se protéger. Cette notion est parfois appelée equalization : l'agressé est « à égalité » avec l'agresseur.
Le fait de détenir et de transporter une arme est en soi un risque ; même si celle-ci n'est destinée qu'à la défense contre une attaque à main armée, rien ne garantit
qu'on ne l'utilisera pas contre une attaque à main nue, ou bien malgré la mise en fuite de l'agresseur, donc hors du cadre de la légitime défense ;
qu'on ne l'utilisera pas pour commettre un homicide, éventuellement pour se faire justice soi-même (autojustice) si l'on considère que l'État ne joue pas son rôle ;
que l'arme ne sera pas volée ;
qu'il n'y aura pas de blessé ou de mort par accident :
jeu d'enfant[7] : pour protéger les enfants, les armes doivent être sous clef, et pour les armes à feu, les munitions sous clef dans un endroit séparé ; mais alors l'arme n'est plus accessible en cas d'attaque, par définition inopinée ;
perte de la maîtrise de soi : soirée arrosée[8], coup de colère[9], problème psychiatrique ;
fausse alerte : la personne se réveille la nuit en entendant du bruit, mais il s'agit d'un membre de la famille, voir par exemple l'affaire du garagiste de Courtenay en 1978[10] ;
balle perdue.
La défense personnelle armée, ou autodéfense, pose donc un problème complexe : dans quelle mesure cette défense n'est pas elle-même un trouble à l'ordre public ? C'est le point de vue des législateurs de nombreux pays démocratiques, dans lesquels la loi limite fortement le port d'arme ; le cas des pays dictatoriaux est moins clair, la possession d'arme par de simples citoyens est souvent interdit pour éviter une rébellion.
De nombreux pays démocratiques considèrent donc que le risque d'agression est moins important que le risque de mortalité si tout le monde possède une arme à feu puisqu'ils limitent fortement le port d'arme, à titre d'exemple[11] :
Dans les pays où le port d'arme est réglementé, seules certaines catégories de personnes sont autorisées à détenir et transporter une arme, en général les forces de l'ordre (mais il existe certaines catégories non armées, comme certains policiers britanniques) et certaines profession à risque, comme le transport et la détention de valeurs (transport de fonds). Les citoyens peuvent en général posséder des armes de collection ou des armes de chasse avec nécessité d'avoir un permis.
L'efficacité de la possession d'une arme repose en fait essentiellement sur la dissuasion : en effet, selon le principe de la légitime défense, l'arme ne peut servir que contre une menace avec arme, donc l'agresseur possède une arme et la pointe vers l'agressé ; le mouvement pour sortir une arme dans ces conditions serait probablement détecté par l'agresseur qui alors ferait usage de son arme[1]. La dissuasion implique que l'agresseur sache, ou suppose, que sa victime potentielle est armée ; s'il décide tout de même de passer à l'acte, il sera donc lui-même systématiquement armé et plus susceptible de faire usage de son arme, voire tentera de neutraliser sa victime dès le début. Il y a donc un risque d'escalade.
Notes
Notes de l'intelligence de la défense personnelle désescalade verbale article du site
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1) Le coup de tête
Un grand classique, le crâne étant un des os les plus solides du corps humain, il va sans dire que le coup de tête est l’une des « techniques » les plus employées dans les combats de rue.
Votre nez est alors généralement la cible adéquate : il est facilement brisable, saigne abondamment et vous empêchera de respirer correctement, ce qui peut provoquer une panique qui
affaiblira votre défense. C’est pourquoi vous devez toujours essayer de mettre de la distance entre vous et votre agresseur. L’autre avantage du coup de tête, c’est qu’il est réalisable avec
n’importe quelle partie du crâne, ne vous méfiez pas uniquement du front de votre assaillant.
2) Les pressions sur les yeux
Voilà un geste que nous avons nous-mêmes décrit et qui peut faire de réels dommages. Les yeux sont fragiles, et une fois que votre agresseur aura ses doigts placés dans vos orbites l’issue
peut en être très dangereuse. Il faut toujours protéger son visage lors d’une altération. Cela étant établi, lorsque votre adversaire tente ce genre de manœuvre, essayez de ne pas trop
paniquer : d’autres endroits de son corps sont alors laissés sans protection (le foie, les côtes, les parties génitales…)
3) Les morsures
Lors d’un combat de rue, on se bat avec ce que l’on a et comme on le peut. Tous les coups étant permis, vous pourrez vous retrouver face à des agresseurs prêts à tout pour vous infliger des
dégâts corporels. Certains peuvent tenter de vous mordre. Ça peut paraître risible et puéril comme cela… mais la douleur est intense.
4) Les tirages de cheveux
Et non, les filles n’ont pas l’apanage de cette parade pour immobiliser ou tout du moins ralentir leurs adversaires. En vous tirant les cheveux votre agresseur ouvre votre garde et voit
ainsi la portée de ses coups augmenter. Votre visage devient indéfendable et les frappes peuvent alors pleuvoir. Soyez réaliste, si vous ne pensiez pas que cette technique pourtant peu
viriles pouvait se matérialiser lors d’un affrontement, vous aviez tort !
5) Les manipulations des parties génitales
Là encore, pas de secret : les parties génitales représentent un des points faibles de l’anatomie masculine. Il n’est donc pas rare qu’on tente de vous attaquer ou de saisir à pleine main votre
paquet (en imprégnant une forte pression, ou en tirant dessus) afin de vous faire hurler de douleur et de vous faire abandonner la lutte.
6) Les manipulations des plaies ouvertes
Si votre chaire est entaillée ou que votre adversaire vous a coupé (avec ses poings, sur votre visage par exemple), il y a de fortes chances pour qu’il tente de placer ses doigts dans l’orifice
ainsi ouvert. C’est bas, mais cela fonctionne très bien. La douleur déjà vivace, sera renforcée à tel point que vous pourrez perdre votre sang-froid, pourtant vital pour ne pas vous laisser
submerger par votre assaillant.
7) Les pressions sur les articulations
En cas de combat rapproché, votre assaillant peut parfois tenter d’attraper vos articulations (les joints reliant le coude au bras et ceux de l’arrière des genoux) afin de tirer dessus ou d’y
appliquer une forte pression. Le but de cette manœuvre est de réduire votre mobilité afin de prendre l’avantage sur vous. Cela dit, cette technique requiert un minimum de connaissances sur
l’anatomie du corps humain. Elle ne figure donc pas parmi les plus fréquentes, car soyons clairs, vos assaillants sortent rarement de Polytechnique !
8 ) Griffures et pincements
Là encore, voici des méthodes qui ne relèvent pas de la plus grande virilité, mais qui sont pourtant bien réelles et utilisées lors des agressions. Votre assaillant n’hésitera pas à torsader
votre peau, la pincer ou même la griffer. Si la douleur n’est pas forcément comparable à celle infligée par un véritable coup, elle joue cependant sur les nerfs et vous laissera croire en la
faiblesse de votre adversaire. Ce qui comme vous le savez est une erreur cruciale. Il ne faut jamais sous-estimer son agresseur, sous peine de se faire surprendre.
Ce fichier va vous apprendre comment vous pouvez vous défendre avec vos mains
Excusez moi pour les fautes et les phrases mal dites, ce texte est traduit de l’anglais.
Il a été rédigé par un grand champion d’Ultimate Fighting qui enseigne des techniques de combat de rue.Commençons par les choses basiques : Qu'est ce que vous devez faire et ne pas faire quant vous vous battez.
Plus tard, je vous donnerais une liste de 20 points vulnérables du corps humain.Position :La meilleure position n'est pas de face à l'ennemi mais de coté, perpendiculaire à l'ennemi, les bras devant vous et éventuellement les genoux légèrement fléchis.
Equilibre :Il est toujours important de garder l'équilibre. Si vous utilisez la position ci-dessus vous n'aurez jamais de problèmes.Si par malchance, vous perdez l’équilibre ne serais ce que d’une seconde, vous pouvez dire au-revoir ou plutôt adieu à votre vie.Agressivité :Toujours être agressif et toujours attaquer. Ne pas juste rester debout et se défendre des coups ennemis vous ne pourrez pas arrêter tous les coups et vous vous trouverez rapidement en mauvaise posture.
Si vous n’êtes pas agressif, l’ennemi croira que vous avez peur et il aura très vite un avantage sur vous.La meilleure chose à faire est de gueuler sur l’ennemi. Cela va intérieurement lui faire croire que vous n’avez pas peur de lui donc lui prendra intérieurement peur (même s’il ne le montre pas) et au passage vous aurez plus d’air dans les poumons ce qui vous donnera d’avantage de punch.Armes Naturelles
Vos armes naturelles sont : le « tranchant » de vos mains, la paume de vos main, biens sur vous mains fermées, vos doigts jusqu’à la deuxième articulation, vos pieds, vos coudes, vos genoux, votre tête. Ceux sont vos armes les plus efficaces.
Les endroits les plus vulnérables :Les tempes :Un gros coup dans les tempes assure une mort immédiate car il y a une grosse artère et un gros centre nerveux juste en dessous. Un coup moyen engendre de violentes douleurs et éventuellement une commotion cérébrale alors qu’un gros coup entraîne une mort immédiate.Les yeux :Les yeux sont aussi un endroit très vulnérable.
Si vous pouvez caser un bon coup dans les yeux, votre adversaire sera temporairement ou définitivement aveugle. Pour cela faites un V avec votre quatrième doigt et votre second doigt (je trouve plus simple de faire un V avec le deuxième et le troisième mais le problème est que le troisième doigt est plus grand que le deuxième) et enfoncez les dans ses yeux en gardant vois doigts bien droits. Vous pouvez aussi le faire avec vos pouces.Le nez :Le nez est un autre endroit d’attaque excellent. Un coup dans ce dernier peut engendrer des fractures, de vives douleurs, un aveuglement temporaire (effet voile noir : les étoiles devant les yeux) et éventuellement une mort. Pour vous défendre, le meilleur moyen est de frapper avec la paume de la main vers le haut. Si vous effectuez ceci avec assez de puissance, l’os du nez rentrera dans le cerveau causant une mort certaine.La lèvre du bas :Le lèvre du bas contient beaucoup de nerfs allant jusqu’à la surface de la peau.
Si vous frappez avec assez de puissance, vous provoquerez la aussi de grosses douleurs, pouvant aller jusqu’à l’évanouissement si vous y mettez assez de puissance.Bouche :Si l’ennemi est à terre, utilisez le talon de votre pied et frappez lui dans la bouche.
Comme il y a beaucoup d’artères et de veines dans les dents, il y aura beaucoup de sang qui pourrais effrayer l’ennemi. Il perdras alors de la concentration et ne défendras plus certaines parties de son corps.Menton :Ne pas donner de gros coups de poing dans le menton de l’ennemi, vous pouvez vous-y casser les doigts ; utilisez la paume de la main en donnant un très puissant coup en remontant. Ceci causera un inconfort extrême chez votre adversaire.Pomme d’Adam :Habituellement, votre ennemi défendra cette partie de son corps mais si vous en avez l’occasion donnez-y un puissant coup avec le tranchant de la main. Si vous réalisez ceci avec assez de puissance, vous casserez sa trachée etil mourra. Vous pouvez aussi serrer sa pomme d’Adam entre vos doigts.œsophage :Si vous avez la chance de prendre prise sur son cou, pressez vos pousses dans son oesophage (placé en dessous de la pomme d’Adam.
Une forte poussée sera très douloureuse et bloquera l’oxygène allant dans ses poumons. Il mourra rapidement.Cou :Si vous donnez un coup violent à la base du cou avec la partie tranchante de votre main, vous le casserez. Si le coup n’est pas porté avec assez de puissance, l’ennemi perdra juste connaissance de façon à ce que vous puissiez lui asséner un coup dans les tempes ou lui casser le cou pour être sur qu’il mourra. Le cou est le meilleur endroit où frapper quelqu’un si vous voulez être tranquille et voir votre ennemi s’effondrer sans un mot.Clavicule :La clavicule est une partie extrêmement sensible. Un coup de poing ou un coup de tête violent entraîne une douleur atroce. Donc si vous enfoncez vos doigts dans la clavicule, vous pouvez faire tomber votre ennemi sur ses genoux.
Epaule :L’épaule est facilement et rapidement débitable. Saisissez le bras de votre adversaire et tirez le derrière son dos et d’un coup tirez le vers le haut. Vous entendrez peut être un craquement signifiant que vous lui avez déboîté l’épaule.Il y a d’autres méthodes mais celle-ci est la plus simple.AisselleBien qu’il soit difficile de l’atteindre, les aisselles ont un large réseau de nerfs. Si l’ennemi est à terre, levez lui le bras et frappez lui dans l’aisselle. Ceci déclenchera une douleur assez forte. Il n’est pas très courant de frapper à cet endroit mais il est bon de l’avoir en tête au cas ou.Cage thoracique :Un coup dans la cage thoracique est très douloureux et peut casser des cotes.Plexus solaire :Situé derrière l’estomac, en bas de la cage thoracique à l’endroit où les deux dernières cotes se rejoignent en un V.Un coup cause de très fortes douleurs voir un évanouissement.Les cotes flottantes :Les cotes flottantes sont les deux dernières cotes situées sur le coté et devant le corps de votre ennemi. Utiliser la main ou le talon pour y asséner un coup qui provoquera une vive douleur ainsi qu’un étourdissement chez votre adversaire.Colonne vertébrale :Un coup de talon dans la colonne vertébrale peut paralyser ou bloquer votre ennemi. Un coup moyen entre les reins de l’ennemi est le meilleur endroit, la dernière vertèbre se trouvant à cet endroit. Vous ne pourrez vous y attaque que lorsque votre adversaire est à terre ou qu’il vous tourne le dos.Les reins :Les reins ont deux larges nerfs qui se terminent à la surface de la peau. Si vous y assénez un coup violent, il mourra.Vous pouvez utiliser votre poing ou votre talon.Les testicules :Les testicules sont un bon endroit ou attaquer si vous avez de la chance. Généralement, votre ennemi protégera le plus cette zone mais si vous avez de la chance, donnez-y un coup de genoux ou de poing. Je suis sur que vous pouvez imaginer la douleur qu’éprouvera l’ennemi.Le coccyx :Il est situé à la fin de l’anus et est aussi très sensible car il y a beaucoup de nerfs. Utilisez le talon pour y donner un coup. La douleur y est incroyable.Le coude :Le coude est facile à déboiter ou à fracturer. Attrapez les bras de l’ennemie et placez les derrière lui et avec la paume de vos mains tapez sur l’arrière de son coude jusqu’à ce que vous entendez un craquement. Quand l’ennemi ne peut se servir plus que d’un bras, vous aurez un grand avantage sur lui.Les doigts :Il est intéressant de casser les doigts de l’ennemi car avec des doigts cassés, il ne pourras plus se servir de ses mains et donc :vous donner de coups de poing, vous prendre un bras etc etc. Il suffit de casser les deux premiers doigts.Tenez le bras de l’ennemi avec une main et avec l’autre poussez ses doigts vers le haut. Vous entendrez peut être un très léger craquement Les genoux :Vous pouvez détruire des genoux en donnant un coup latéral ; avec le coté de votre pied. Ceci détruira les ligaments et les cartilages. Ceci causera une douleur incroyable ainsi que l’impossibilité de bouger la jambe. L’ennemi sera lors immobilisé à terre ne pouvant se lever. Vous aurez alors un grand avantage sur lui.Les chevilles :Quand votre ennemi est à terre, donnez lui un coup sec et violent dans sa cheville. Il lui sera alors impossible de se relever et il sera d’autant plus facile pour vous de le tuer.Quelques trucs importants que vous devez vous souvenir quand vous aurez à vous battre contre quelqu’un. :Toujours essayer de faire perdre l’équilibre à votre adversaire. Vous pouvez faire ceci en le chargeant ou en faisant semblant de le frapper. Si le charger simplement ne suffit pas pour le déséquilibrer, quand vous le chargez, avec vos bras attrapez le derrière du bas des cuisses (juste au dessus de l’arrière du genoux) et soulevez ses jambes. Il tombera alors en arrière. Attention cette méthode demandes beaucoup de puissance et vous pouvez vous faire mal au dos.Toujours être attentif aux failles de sa défense. Si il laisse une zone vulnérable de son corps sans protection,l’attaquer de toute votre puissance à cet endroit. En faisant ça, il essayera par tous les moyens de protéger cette partie du corps et donc il découvrira d’autre parties de son corps.Utilisez n’importe quel objet que vous pouvez. En disant cela je veux dire jetez lui du sable dans les yeux, bloquez ses coups avec une branche large etc.Jeu déloyal Dans une situation de vie ou de mort il n’y a pas de déloyauté ni de règles. Par exemple donner un coup dans les testicules est considéré comme une déloyauté ou une lâcheté au lycée, mais dans un combat à mort c’est un très bon chemin pour détruire votre ennemi. Pour faire simple frappez quand vous le pouvez et quand il est à terre. N’hésitez pas jetez vous dessus. Croyez vous vraiment que votre adversaire attendra que vous retrouvez vos esprits et que vous vous relevez quand vous serez a terre ? Il est bien plus probable qu’il ne vous saute dessus et qu’il vous achève.Ceci sont les bases de combat ainsi que les endroits les plus vulnérables du corps humain. Avoir lu ceci ne veut pas dire que vous pouvez descendre dans la rue et frapper quelqu’un.Si ce texte vous plaît, et que vous voudriez essayer ces méthodes, trouvez un partenaire également intéressé et travaillez ensemble ces types de coups et de prises. Si vous le faites, allez y doucement et sachez que ces coups sont pour la plupart mortels et ne demandent pas tous énormément de force pour être efficaces donc portez les doucement sur votre partenaire. D’autre part il n’est pas recommandé de porter les coups de genoux dans les testicules même légèrement, faites les dans le vide pour vous entraîner.
Dans la rue :
1) Le soir, évitez les rues et les parcs peu fréquentés ou mal éclairés.
2) Variez vos heures de sortie et de retour à votre domicile.
3) Ne marchez pas trop près des entrées d’immeubles pour éviter une attaque-surprise.
4) Évitez de vous priver d’un sens en écoutant de la musique (baladeurs mp3 etc.).
5) Évitez les distributeurs de billets isolés.
6) Faites preuve de vigilance quand vous croisez la route de personnes douteuses. Observez de loin et adaptez votre comportement en conséquence.
7) Si un individu s’adresse à vous dans la rue, qu’il soit en voiture ou à pied, conservez une distance de sécurité (distance souhaitée : 0,80 à 1,20 m) pour lui répondre.
8) Si vous pensez être suivie, adoptez l’une des stratégies suivantes :
– Changez de trottoir, entrez dans une résidence, un commerce ou un service publique (police municipale, nationale, etc.).
– Surtout, ne rentrez pas immédiatement chez vous ! Inutile de donner votre adresse ! Essayez de rassembler le maximum d’éléments sur votre agresseur potentiel pour être capable de l’identifier (vêtements, taille, type etc.).
9) Si le but de l’agression est le vol, donnez ce que l’on vous demande : ne mettez pas en danger votre intégrité physique pour un téléphone portable, de l’argent ou votre sac à main.
10) Si l’agression est verbale (insultes, moqueries), montrez que vous avez vu et entendu, et considérez ces provocations comme un obstacle à contourner. Ne jouez pas le jeu de l’agression verbale afin de ne pas risquer l’agression physique.
11) Si le but est de vous agresser physiquement, préparez-vous à vous défendre.
Avant et pendant l’agression, utilisez tous les moyens : les cris, les frappes corporelles et des moyens intermédiaires (parapluie, sacs, revues, clefs, etc.) pour vous défendre. N’hésitez pas à frapper les parties vulnérables de votre agresseur (oreilles, yeux, gorge, parties génitales) n’ayez aucune retenue, frappez à saturation.
Conseils pour les femmes.
Votre voix et une arme.
il faut que les personnes aux alentours vous remarquent.
Inspiré de plusieurs styles
Le coude est la partie la plus solide de notre corps.
Si vous êtes assez proche pour vous en servir, allez-y.Cela demande demande de l' entraînement.
2
Si un voleur vous demande votre porte-monnaie ou votre sac à main,
NE PAS LUI DONNER EN MAINS PROPRE.
Lancez-le loin de vous. Il y a de fortes chances pour qu’il se précipite sur l’objet, au lieu de vous attaquer. (et sinon, ben pas de chance, il vous en colle une)
PROFITEZ-EN POUR VOUS ÉLOIGNER EN COURANT LE PLUS VITE POSSIBLE !
(enfin, si vous ne pouvez pas fuir car vous êtes dans le métro, une cage d’escalier, un couloir… ne le jetez pas, ça pourrait l’énerver encore plus)
3. Si vous avez été enfermée dans un coffre d’auto : (on est au 3e point et vous êtes déjà dans le coffre… bon, vous avez loupé un certain nombre d’étapes préalables…)
enfoncez les phares arrière, puis passez votre bras dans l’ouverture et agitez-le frénétiquement. Cela attirera l’attention de tous à l’exception du conducteur. (vous avez déjà vu un accès simple
et fragile aux feux arrières dans le coffre d’une voiture moderne ? bon à moins que l’agresseur ait pris une vieille voiture de collection…)
Un conseil qui a déjà sauvé des vies. (ah bon, jamais entendu cette anecdote dans le monde de la sécu / self)
4. Dès que vous entrez dans votre auto :
Verrouillez les portes et partez.
Les femmes ont tendance à s’asseoir un moment dans leur auto pour faire leurs comptes, écrire une note, etc., par exemple, après avoir travaillé ou avoir été faire du shopping (ce serait pas un
cliché ça ?)
NE RESTEZ PAS ASSISE DANS VOTRE AUTO STATIONNÉE !
(et si vous devez écrire un truc, ou téléphoner, faites-le en conduisant, c’est beaucoup plus safe !!!)
Un prédateur peut vous observer et saisir l’occasion de se glisser du côté du passager pour vous forcer de le conduire quelque part, un pistolet braqué sur votre tempe. (voilà voilà… c’est le cas
de figure le plus courant d’ailleurs)
Si un prédateur se trouve déjà dans l’auto et braque son pistolet sur vous, (ah ben là, vous avez pas fait gaffe en entrant…)
NE SUIVEZ PAS SES ORDRES !
Je répète : NE SUIVEZ PAS SES ORDRES ! (sauf si ya des vraies balles dans le pistolet ?)
Arrangez-vous plutôt pour endommager votre auto : choisissez un obstacle et appuyez sur l’accélérateur.
N’ayez pas peur : votre coussin gonflable vous protègera (enfin si vous en avez un… car si c’est la voiture qui a les feux qui donnent directement dans le coffre, y aura peut être pas). C’est la
personne sur le siège arrière qui encaissera le coup (sauf s’il a mis sa ceinture ;)).
Dès que l’auto s’immobilise, sortez et courez.
Une solution si vous ne voulez pas qu’on retrouve votre corps dans un endroit perdu. (ah un peu de glauque, c’est bon ça)
5. Quelques conseils de prudence dans les stationnements et les garages :
A.) Soyez vigilante (ce conseil marche tout le temps, gardez-le).. Regardez autour de vous. Inspectez l’intérieur de votre véhicule : le siège arrière, l’espace devant le siège passager avant.
(alors ça il fallait le faire avant le point 4)
B.) Si vous êtes stationnée à côté d’une camionnette, entrez dans votre auto de l’autre côté. (sauf s’il y a une camionnette aussi de l’autre côté, alors là il faut entrer par le coffre… ou par
les feux)
La plupart des tueurs en série attaquent leurs victimes pendant qu’elles ouvrent la porte de leur auto, pour les entrainer dans leur camionnette. (dans l’Agence Tous Risques aussi ils font ça ;
remarquez, ça se trouve c’est Futé qui veut vous enlever — dans ce cas la camionnette se reconnait, c’est un GMC rabaissé gris & noir avec une bande rouge)
C.) Observez les autos stationnées de part et d’autre de votre auto.
Si vous voyez un homme assis seul, surtout s’il est du côté de votre auto, peut-être est-il préférable de retourner à votre bureau ou au centre commercial et de demander l’aide d’un garde ou d’un
policier pour vous raccompagner.
(bon, ne le faites pas à chaque fois que vous voyez un homme seul qui passe près de votre auto non plus hein ; c’est seulement si l’homme a l’air gentil en fait (c’est sûrement Ted Bundy, voir
plus bas))
MIEUX VAUT AGIR AVEC PRUDENCE (Mieux vaut être paranoïaque que mort.)
6. PRENEZ TOUJOURS l’ascenseur au lieu des escaliers. (Les cages d’escaliers
sont des lieux de crimes parfaits ! Surtout la NUIT !)
(alors que les ascenseurs, c’est super safe…)
7. Si un prédateur a une arme à feu mais ne vous tient pas, COUREZ !
Les chances qu’une balle vous atteigne ne sont que 4 sur 100 et même si c’est le cas, les balles n’atteindront QUE RAREMENT un organe vital. (l’autre technique c’est de mettre le doigt dans le
canon, et il parait que ça fait exploser le pistolet et anéantit l’agresseur, mais il faut être précis du coup)
COUREZ ! Si possible en zigzaguant !
8. En tant que femme, nous essayons toujours d’être gentille :
LAISSEZ LA GENTILLESSE DE CÔTÉ !
Vous risquez d’être violée ou tuée.
Ted Bundy, le tueur en série, était un homme beau et bien éduqué. Il comptait TOUJOURS sur la sympathie des femmes afin de les enlever : il marchait avec une cane, il boitait, il demandait de
l’aide
pour entrer dans son véhicule.
(c’est vrai ça, soyez agressives avec toutes les personnes qui vous abordent, comme ça, vous serez tranquilles & Ted Bundy il osera rien faire)
************Soyez prudentes ! ************
9. Rappelez-vous l’histoire du bébé qui pleure.
Une femme a entendu des pleurs de bébé qui semblaient provenir de sa porte d’entrée.
Plutôt que d’ouvrir, elle a appelé la police car cette situation, tard dans la soirée lui semblait bizarre.
La réponse de la police ne s’est pas faite attendre : «Surtout, n’ouvrez pas (laissez ce sale môme chialer, il finira bien par dormir !)
Ensuite, il a semblé à cette femme que le bébé avait rampé sous une fenêtre.
Elle avait peur que le bébé aille jusqu’à la rue et se fasse heurter par une auto.
À nouveau, le policier lui dit : SURTOUT, N’OUVREZ PAS.
Il l’informa qu’il était possible qu’un tueur en série essaie d’apitoyer des femmes à l’aide d’un enregistrement de pleurs de bébé pour ensuite pénétrer chez elles.
Ce fait restait à vérifier mais il confirma que la police avait reçu plusieurs appels de femmes qui avaient entendu un bébé pleurer dehors lorsqu’elles étaient seules la nuit !
S’il vous plaît, N’OUVREZ PAS si vous entendez des pleurs de bébé.
(notez le « S’il vous plait »… l’auteur supplie pour que vous ne preniez aucun risque avec ces foutus bébés qui pleurent sans arrêt !)
Ce courriel devrait probablement être pris au sérieux parce que l’histoire des pleurs de bébé a été mentionnée dernièrement à la télévision lors du programme America ‘s Most Wanted » qui parlait
d’un tueur en série en Louisiane.
(notez le « Ce courriel devrait probablement être pris au sérieux »… bah alors, on utilise le conditionnel, et « probablement » pourquoi donc ? il y aura une raison pour ne pas le prendre au
sérieux ?)
Un dernier conseil : Ne jamais crier « À l’aide ! » mais plutôt « AU FEU !
les gens vont sortir pour le feu mais rarement pour aider. Ça peut aussi désarçonner l’agresseur, il se demandera s’il a affaire à un fou ou une folle et il pourrait bien vous lâcher sur place.